Allez, en attendant que j'ai fini de rediger, de scanner, etc..
voici la transcription d'une jolie chanson
du groupe Depeche-Mode.
Like a cat dragged in from the rain
Who goes straight back out and to it all over again
I'll be back for more
It's something that is out of our hands
Something we will never understand
It's a hidden law
The apple falls
Destiny calls
I follow you
Like a pawn on the eternal board
Who's never quite sure what he's moved towards
I walk blindly on
And heaven is in front of me
Your heaven beckons me enticingly
When I arrive it's gone
The river flows
The wise man knows
I follow you
I'm yearning I'm burning
I feel love's wheels turning
Like a moth on love's bright light
I will get burned each and every night
I'm dying to
The sun will shine
The bottom line
I follow you
jeudi 29 janvier 2009
jeudi 22 janvier 2009
CAUCHEMA-REVE
Reveillé en sursaut a trois heure un quart
essoufflé, en nage et le coeur batant
comme après un méchant cauchemard
t'aurais dit ça si tu me regardais a ce moment
Je marchais dans un lieu froid et noir
droit devant moi comme ça,
ou bien en rond, comment savoir
ou allaient donc mener mes pas ?
C'était un endroit de cauchemard
qui suscite le frisson et l'effroi
avec d'inquiétants traquenards
qui m'attendaient tapis et sournois
J'avais abandonné tout espoir
et déja j'avais baissé les bras
ne trouvant pas echappatoire
a l'angoisse dont je suis proie
Et déja en moi s'insinuait
la glace du doute, la honte de soi
et peu a peu, par couches gelait
un coeur qui hait le noir dur et froid
Pas bon ! J'avais cessé de greloter !
quand j'entendis venant d'ailleurs
un murmure, des refrains, qu'est ce que c'est ?
était ce une musique ou un choeur ?
Puis blafard comme la lune, une lueur
c'est fou comment ça me réchauffait
Je voulus m'élancer vers la chaleur
mais c'est que je n'était pas tout dégelé
Je laissait tranquillement faire la lueur
dont la douce et implacable tiédeur
gentillement,me dépouillait de ses peurs
la lueur devint un soleil éclatant
et du noir sortirent pairies et champs
un air parfumé, embaumant la verdure
un ciel clair,paré d'un bleu azur
la symphonie deja s'approchait d'ici
Je la guettait, la cherchait quand soudain, Je sentis
le poids d'une main sur mon épaule apesantie
et un rire cristalin me disant : Allez, Bats-toi ! Vas y!
Reveillé en sursaut a trois heure un quart
essoufflé, en nage et le coeur batant
comme après un méchant cauchemard
n'eut été ce sourrire naissant !
Récit d'un cauchemard qui n'en est plus un !
(Ben oui, je le faisais souvent celui là !
Pu... L'angoisse ! Je revais souvent ces derniers temps
que je gelais, que le froid me statufiait seul et perdu dans le noir !
Je prefere encore rever qu'on me poignarde... sérieux !
et je suis bien content de cette nouvelle fin
enfin, c'est un reve... !)
Rédigé a 4h00 du mat' le Ven 23 Jan 2009
essoufflé, en nage et le coeur batant
comme après un méchant cauchemard
t'aurais dit ça si tu me regardais a ce moment
Je marchais dans un lieu froid et noir
droit devant moi comme ça,
ou bien en rond, comment savoir
ou allaient donc mener mes pas ?
C'était un endroit de cauchemard
qui suscite le frisson et l'effroi
avec d'inquiétants traquenards
qui m'attendaient tapis et sournois
J'avais abandonné tout espoir
et déja j'avais baissé les bras
ne trouvant pas echappatoire
a l'angoisse dont je suis proie
Et déja en moi s'insinuait
la glace du doute, la honte de soi
et peu a peu, par couches gelait
un coeur qui hait le noir dur et froid
Pas bon ! J'avais cessé de greloter !
quand j'entendis venant d'ailleurs
un murmure, des refrains, qu'est ce que c'est ?
était ce une musique ou un choeur ?
Puis blafard comme la lune, une lueur
c'est fou comment ça me réchauffait
Je voulus m'élancer vers la chaleur
mais c'est que je n'était pas tout dégelé
Je laissait tranquillement faire la lueur
dont la douce et implacable tiédeur
gentillement,me dépouillait de ses peurs
la lueur devint un soleil éclatant
et du noir sortirent pairies et champs
un air parfumé, embaumant la verdure
un ciel clair,paré d'un bleu azur
la symphonie deja s'approchait d'ici
Je la guettait, la cherchait quand soudain, Je sentis
le poids d'une main sur mon épaule apesantie
et un rire cristalin me disant : Allez, Bats-toi ! Vas y!
Reveillé en sursaut a trois heure un quart
essoufflé, en nage et le coeur batant
comme après un méchant cauchemard
n'eut été ce sourrire naissant !
Récit d'un cauchemard qui n'en est plus un !
(Ben oui, je le faisais souvent celui là !
Pu... L'angoisse ! Je revais souvent ces derniers temps
que je gelais, que le froid me statufiait seul et perdu dans le noir !
Je prefere encore rever qu'on me poignarde... sérieux !
et je suis bien content de cette nouvelle fin
enfin, c'est un reve... !)
Rédigé a 4h00 du mat' le Ven 23 Jan 2009
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